A Gafsa, tous misérables, on fume ensemble de l algérien et on ne se plaint de la contrebande, domaine d’activité et profession des « non gafsiens »
C’est à la « une de perdu dix de retrouvées » que vivent les gafsiens. Certainement Pas avec la gente féminine vu les traditions et l’esprit conservateur qui règne encore, mais avec les D’max, voitures commerciales, qui reflètent le vécu de plein de gens. C est bien là le fruit d’une colonisation suivie d une dictature qui fait honneur à sa réputation.
Dans une région « première en taux de chômage « Il suffit de voir passer les convois de tabac, essence et même des de la charpente métallique pour comprendre la gravite de la situation ; surtout quand il s’agit de Gafsa qui, Possédant l un des piliers de l économie nationale, continue à trainer en même temps le pays au fin fond en bas. C’est bien là à un paradoxe qu’on assiste qui nécessitera surement un large débat national. Et c’est bien là ce chômage qui embrase nos concitoyens qui n arrêtent pas de s accuser les uns les autres avec des propos vides de sens dans des débats stériles entre « les vrais gafsiens » et les sauvageons venu de l extérieur dits « 3orban ». En s’accusant mutuellement usant de la profonde haine qu’ils nourrissent les uns pour les autres , ils oublient facilement leur part de responsabilité là-dedans. Corrigez-moi si je me trompe mais ce genre de distinctions racistes ne fait que tacher le long parcours intouchable que Gafsa a su fournir le long de son périple. Aussi bizarre à concevoir la contrebande est et restera une obligation de survie pour la progéniture de Lazher Chraiti. De toute façon, s’accuser mutuellement n’a jamais été une solution à toutes nos peines, elle en est la cause peut être…
Kais Zriba
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